Je ne le posterai pas en entier ici parce qu'une part de moi rêve toujours de le publier un jour ( un jour quand je l'aurai fini...), mais je vous en poste un petit morceau aujourd'hui, ce n'est ni le début ni la fin, ça doit faire parti du 1er ou 2ème chapitre ! Ainsi je me fais des potentiels acheteurs ^^
Le topo : C'est l'histoire d'une jeune fille qui étudie la magie dans une école de magie. Oh, ça vous dit quelque chose? ^^ Ma foi, j'ai tout fait pour me détacher du mon d'Harry Potter, de me distinguer, d'inventer un sytème scolaire différent... (que vous n'aurez pas beaucoup l'occasion de découvrir dans ce texte !) J'ai de nombreuse influence, mais j'espère néanmoins réussir à faire une œuvre originale ! :)
L'héroïne s'appelle Elisha, elle a 13 ans, elle n'a pas de baguette magique mais un médaillon, et un "Protecteur" : c'est un être de magie qui la guide et la protège dans son apprentissage.
Je pense que je vous en ai assez dit pour vous mettre dans le contexte :)
Vos commentaires me seront très précieux, autant en global que sur des points très particuliers, alors lâchez-vous sur les critiques, allez-y franchement ! :)
Je vous fais à tous un petit bisous, et je vous laisse lire ! <3
(Mademoiselle la passeuse des Mondes, ceci est partiellement du neuf, tu devrais lire :p)
La jeune fille courrait à travers
la forêt, aussi vite qu’elle le pouvait malgré le poids de ses armes sur son
dos et à ses hanches. Le vent qui soufflait à ses oreilles ne suffisait pas à
étouffer le grondement de son poursuivant, semblant être de plus en plus proche
de sa nuque. D’un bond, elle vira de côté, dévalant une pente raide
d’arbrisseaux et de ronces, les bras croisés devant le visage, les dents
serrées, jusqu’à un nouveau détour du chemin.
Il fallait rester calme, et surtout garder son souffle ; la bête
était puissante mais peu agile, et elle détestait l’eau plus que tout. Elle
devrait donc tenir jusqu’à la Boueuse, un peu plus au Sud.
Réalisant qu’elle venait de semer son
adversaire, elle se redressa et s’accorda quelques secondes de répit, essuyant
d’un geste son pantalon noir et sa cuirasse, et ramena ses cheveux sous la
visière de son casque. Elle avait été bien avisée de garder toute sa panoplie
de guerrière en partant, elle lui sauverait peut-être la vie aujourd’hui. Par
prudence, elle tira de son fourreau son épée, prête à se défendre. Il n’y avait
plus aucun bruit, ce qui n’était pas du tout bon signe ; soit la bête se
tenait tout prêt et s’apprêtait à lui bondir dessus, soit elle l’avait vraiment
perdu de vue, ce qui, étonnamment, n’était pas une bonne nouvelle : si
elle ne la retrouvait pas, elle ne pourrait pas récupérer son médaillon.
Après quelques secondes de réflexion, elle fit la seule
chose qui puisse attirer un dragon de terre : avec la lame de son épée,
elle se coupa d’un geste sec au bras gauche, laissant un filet de sang couler
sur le sol de feuilles mortes. Puis avec un soupir et sans chercher à stopper
l’écoulement du sang, elle reprit sa course.
« Un dragon, maugréa-t-elle. Moi, Elisha Istar, parmi
toutes les créatures que je devais croiser, il a fallu que ce soit un
dragon ! Un dragon de terre qui plus est… S’il avait des ailes, il me
chercherait des yeux depuis le ciel ! Je serais en sécurité dans cette
forêt ! Penses-tu. Et moi qui lui indique volontairement ma piste… Je suis complètement folle.
- Mais il t’a piqué ton médaillon, cocotte, ce n’est pas
comme si tu avais le choix… marmotta une voix sarcastique, une petite voix
sortant de sa poche.
- Conscience, tais-toi.
- Tu comptes peut-être rentrer à
l’Ecole sans lui ? Tu serais bien maligne, dans une école de magie sans ton
médaillon !
- Mais tu me tapes sur les nerfs,
tais-toi ! Tu ne voulais pas non plus que je me taillade le bras entier
pour qu’il me retrouve, si ?? J’arrive à la Boueuse dans quelques minutes,
je vais l’attirer et le faire tomber dedans ! Et là… Je le neutralise, je
le tue, je récupère mon médaillon et je rentre ni vu ni connu.
- Un jeu d’enfant.
- Conscience… TAIS-TOI !
- C’est bon, c’est bon… »
Dans sa poche, son compagnon, un
mulot tigré, remua légèrement en maronnant dans ses moustaches. Il ne s’habituerait
jamais à nom. Conscience… c’était un nom commun qu’on pouvait trouver dans le
dictionnaire ! Et c’était totalement inapproprié ! Il avait d’abord
cru qu’Elisha se moquait de lui, mais depuis plus de 15 jours à présent, elle
en restait à cette version. La petite était une tête de mule, il devrait s’y
faire. Mais au-delà de ça, il était inquiet.
Très inquiet. Il être contre, entièrement contre cette expédition ! Elisha
était-elle donc à ce point inconsciente ? Sous ses sarcasmes se cachait
l’angoisse sourde de ne pas pouvoir la protéger. Il n’avait pas pu la dissuader
de partir, ni de garder le médaillon. Il n’avait repéré le dragon que
tardivement, quand celui-ci avait déjà pris le médaillon dans sa gueule.
Évidemment, sa fougueuse protégée avait sauté sur le dragon avec son épée, et
quelques coups bien placés avaient suffi à le mettre en colère. Et peut-être
aussi à attiser sa faim. Conscience soupira. Il n’était incarné dans le monde
physique que depuis deux mois, et il avait peine à extraire de lui une magie
suffisamment puissante pour que les choses rentrent dans l’ordre. La seule
chose qu’il avait pu faire, c’est les propulser elle et lui à l’autre bout de
la clairière, leur permettant de s’enfuir. Mais il savait comme elle qu’ils ne
pourraient pas fuir éternellement : si Elisha ne récupérait pas son médaillon,
les conséquences seraient catastrophiques.
- Je voulais simplement te
signaler la précarité de notre situation, reprit-il finalement, puisque sans
ton médaillon tu ne peux pas espérer invoquer la moindre magie contre lui, et
que le fait que les filles de ton dortoir « piaillent sans arrêt et sans
raison » n’est définitivement pas une raison suffisante pour…
- Écoute, vieux mulot
moralisateur, souffla-t-elle entre deux enjambées, soit tu te tais
définitivement sauf pour me dire quelque chose d’UTILE, soit je
t’ETRANGLE ! Compris ? De toute façon en temps normal je sais à peine
faire léviter une gomme !! »
Coincé dans la poigne de fer
d’Elisha, le mulot jugea prudent de ne plus rien dire. Celle-ci retira sa main
avec humeur, arrivant justement à la Boueuse, une rivière appelée ainsi à cause
de ses fonds terreux qui la rendaient continuellement brune. Avec tout ça, elle
n’avait rien eu le temps d’inventer pour traquer le dragon. Elle allait donc se
battre, avec son épée et sa hache, en faisant tout son possible pour l’acculer
contre la rivière.
A cet instant, des craquements de
feuilles à quelques mètres devant elle lui indiqua que son poursuivant l’avait
retrouvé. Essuyant machinalement son bras, dont la plaie avait séché, elle prit
la position, l’épée dans une main, un couteau dans l’autre.
Sans plus attendre, le dragon se jeta sur elle. D’un large coup d’épée, la jeune fille le fit dévier sur la droite, tandis que de son couteau elle lui érafla la patte avant. Sans perdre une seconde, elle s’écarta de quelques pas pour éviter la mâchoire de son adversaire puis repassa à l’attaque ; le dragon feula et, avant qu’elle ne le touche se dressa sur ses pattes arrières et frappa violement son épée, qui tomba dans la Boueuse. Un instant interdite, elle se reprit et fit passer le couteau dans sa main droite. Elle avait aperçu une seconde plus tôt la pierre mordorée de son médaillon ; dans la gueule du dragon. Elle le fixa d’un œil mauvais. Celui-ci sembla soudain décidé qu’il avait assez joué avec sa proie, car il passa à une attaque beaucoup plus rapide, lui envoyant des coups de griffes redoutables, avançant sur elle toujours un peu plus. Elisha se défendait tout juste assez pour être encore en vie mais elle n’avait déjà plus le temps ni la force de passer à l’offensive ; la bête était bien trop puissante pour elle, malgré son ardeur. Quand, reculant d’un pas de plus, son pied trempa dans la rivière, elle sentit ses derniers espoirs la quitter. C’est alors qu’une petite voix suraiguë lui cria :
Sans plus attendre, le dragon se jeta sur elle. D’un large coup d’épée, la jeune fille le fit dévier sur la droite, tandis que de son couteau elle lui érafla la patte avant. Sans perdre une seconde, elle s’écarta de quelques pas pour éviter la mâchoire de son adversaire puis repassa à l’attaque ; le dragon feula et, avant qu’elle ne le touche se dressa sur ses pattes arrières et frappa violement son épée, qui tomba dans la Boueuse. Un instant interdite, elle se reprit et fit passer le couteau dans sa main droite. Elle avait aperçu une seconde plus tôt la pierre mordorée de son médaillon ; dans la gueule du dragon. Elle le fixa d’un œil mauvais. Celui-ci sembla soudain décidé qu’il avait assez joué avec sa proie, car il passa à une attaque beaucoup plus rapide, lui envoyant des coups de griffes redoutables, avançant sur elle toujours un peu plus. Elisha se défendait tout juste assez pour être encore en vie mais elle n’avait déjà plus le temps ni la force de passer à l’offensive ; la bête était bien trop puissante pour elle, malgré son ardeur. Quand, reculant d’un pas de plus, son pied trempa dans la rivière, elle sentit ses derniers espoirs la quitter. C’est alors qu’une petite voix suraiguë lui cria :
« Ton casque, ton
casque ! Il a peur de l’eau !!
Saisissant l’information en un
quart de seconde, la jeune fille retira son casque et le plongea dans la
rivière. L’instant d’après, elle envoyait l’eau sur la gueule du dragon, qui
rugit de colère et de surprise, clignant des yeux. Elisha en profita pour
remplir à nouveau son casque et lui en reverser le contenu sur les yeux,
presque amusée de voir comme c’était efficace.
« Prends-toi ça, vilaine
bête ! Cria-t-elle dans un troisième jet d’eau.
Mais le dragon c’était dressé sur
ses pattes pour éviter de se faire éclabousser, et il la dominait de toute sa
hauteur, une lueur sauvage dans les yeux. Toutes griffes dehors, il élança sa
patte avant sur elle.
« Ses pattes arrières, ses
pattes arrières sont sans protection !
Remerciant mentalement son
Protecteur, Elisha roula sur elle-même sous le ventre du dragon, évitant un
coup de griffe mortel, planta son couteau dans l’une de ses pattes et tira sa
hache dans le même mouvement, l’abattant avec l’énergie du désespoir sur
l’autre patte. Dans une dernière roulade, elle se projeta à l’air libre, sans
plus aucune arme, mais encore sauve. Devant elle le dragon s’effondra au sol, dans
une lenteur irréelle, ses pattes désormais incapable de le soutenir. A terre, cherchant
désespérément à se relever, il fut pris de violentes convulsions, ouvrant la
gueule à la recherche d’air. Son souffle était rauque et ses yeux hagards ;
il n’avait plus rien de la bête féroce qu’il était encore quelques secondes
auparavant. Soudain, sa tête retomba au
sol, inerte.
« A ton avis, ... Murmura finalement la jeune combattante.
-
Il est mort, murmura-t-il. Tu l’as tué.
- Waw… Woooow. J’suis trop
forte !!
- Moui bon, tu es couverte de
blessures et tu as eu beaucoup, beaucoup de chance, c’est tout !
- Je suis. Trop. Forte…
- Va récupérer ton médaillon au
lieu de dire des âneries ! » Soupira-t-il en levant les yeux au ciel.
Après quelques instants à rester
immobile devant la carcasse du dragon, elle empoigna vigoureusement ses
mâchoires et lui ouvrit la gueule. Les yeux plissés, elle cherchait son joyau
quand, prise d’un terrible doute, elle murmura :
« Conscience… ces convulsions
tout à l’heure… Il ne s’est quand même pas… étouffé avec mon
médaillon ?? »
Le silence éloquent de son mulot
confirma ses craintes, et elle lâcha les mâchoires, dépitée.
« Tout ça… pour rien ?!
- Aller ma p’tite, application
pratique de tes cours de biologie ! Niveau 1, la dissection !
- Je n’ai PAS de cours de
biologie.
- A la bonne heure, tu vas adorer
ça ! Pas de scalpel ? Vas-y à la hache, tu n’as plus rien à perdre.
Hop, on y va, on s’dépêche, on évacue les lieux au plus vite ! »
C’est donc dans un éclaboussement
de sang et de terre qu’Elisha partie à la recherche de son médaillon, taillant
à tout hasard vers l’estomac, la gorge, les poumons. Elle y plongea finalement
les deux mains, frissonnant de dégout. Sa malheureuse victime n’avait certes
pas mérité une telle boucherie. Soudain, triomphante, Elisha extirpa ses deux
bras des poumons du dragon et les leva au-dessus de sa tête :
« JE L’AI !! »
- Oh-oh… se contenta de
répondre son petit compagnon, qui retourna se fourrer dans sa poche. La jeune fille
se retourna, perplexe.
- Oups.
Juste devant elle se tenait une
grande femme, les points sur les hanches, qui n’avait pas l’air contente du
tout, et qu’elle reconnaissait aisément pour n’être rien de moins que sa directrice.
- MADEMOISELLE ISTAR
ELISHA !!! Je viens d’apprendre que vous venez de FUGUER de ma
prestigieuse école !!
- Je n’ai pas –
- SILENCE ! Vous êtes privée
de sortie jusqu’à la fin du trimestre, jeune fille ! »
La sentence prononcée, madame
Venena sembla se calmer un peu, reprit son souffle et examina son élève. Ses
yeux s’écarquillèrent de surprise.
« Mais, mais qu’avez-vous donc
fait ? Avez-vous vu votre état ?! Oh, Misère, ajouta-t-elle en
apercevant le dragon, baignant dans une mare de sang qui s’écoulait dans la
Boueuse. Avisant à nouveau la jeune fille, elle s’écria :
- Où est votre médaillon ?! »
Se redressant, elle le brandit
sous les yeux de sa directrice, mais le moment était mal choisi pour faire la
fière : ses bras était couvert jusqu’aux coudes de sang de dragon… et
morceaux de chair peu ragoutant. Penaude, elle s’en débarrassa hâtivement et se
mit à contempler ses pieds, n’osant pas ouvrir la bouche. Bien sûr, c’est juste
quand elle en avait besoin que Conscience se taisait !
La directrice était livide. Son regard allait du médaillon, au dragon, en passant par la hache sur le sol…
La directrice était livide. Son regard allait du médaillon, au dragon, en passant par la hache sur le sol…
- MADEMOISELLE ISTAR ELISHAAAA !!!
L’intéressée rentra la tête dans
les épaules.
- Je ne sais pas ce que vous avez
fait et je m’en contrefiche ! Mais il semble que vous l’ayez fait sans
votre médaillon et c’est d’une bêtise sans nom ! Dois-je vous rappeler
qu’avoir des ancêtres elfes et un nom prédestiné ne suffit pas pour faire de la
magie ?! Juste ciel, vous entamer à peine le second cycle ! Vous êtes
complètement inconsciente ! »
Intérieurement, Elisha leva les yeux au ciel. On lui
ressortait le coup de sa lignée à toutes les sauces. Même après des
générations, les quelques elfes de sa lignée continuaient à briller pour leur
incroyable puissance magique. En ce qui la concernait, ils étaient même parfois
éblouissants, et tout le monde sait qu’il est très
pénible d’avancer quand on a le soleil dans les yeux.
- Vous me copierez 100 fois « Je ne dois JAMAIS me
séparer de mon médaillon magique » ! Et une dissertation détaillée
sur les évènements de l’après-midi ! Et où est votre Protecteur ? »
- Dans ma poche... Murmura Elisha puisque celui-ci ne
daigna pas montrer le bout de son museau.
- Il était censé vous protéger ! »
Tremblant sous le ton sévère de la directrice, le mulot
se serra en boule dans la poche d’Elisha, qui répliqua :
- Mais il m’a aidé ! Sans lui, je –
- Suffit. Rentrons avant que les patrouilles écolos ne
trouvent l’origine de tout ce sang qui coule dans leur rivière. Vous
m’expliquerez tout cela dans votre copie.
Morose, Elisha s’avança dans le
cercle que venait de créer la
vieille dame autour d’elle, et, sur un claquement de doigt de celle-ci, elles
disparurent.
Ce n’est sur le chemin de son
dortoir que son mulot repointa du museau. Sans un mot, il grimpa à la verticale
sur son pull, et se posa sur son épaule. Puis, au bout d’un instant, il lui
murmura à l’oreille :
« Ça va ?
- Hum… On avait enfin réussi, comme des grands, il a
fallu qu’elle arrive à ce moment-là… c’est moche.
- C’est vrai, c’est vrai… mais t’as vu ça comme tu lui as
fait la peau à cette sale bête ? Trop balèze ! »
Elisha retrouva enfin le sourire, repensant aux
péripéties de l’après-midi. Elle était touchée qu’il ne lui fasse pas la morale
une fois de plus, alors qu’il n’avait certainement pas apprécié la sortie. Ni
le ton qu’elle avait employé avec lui, pensa-t-elle en rougissant. Et puis elle
savait que sans lui, elle ne s’en serait pas aussi bien tirée face au dragon,
et cela la touchait encore plus qu’il ne le lui fasse pas remarquer.
« Merci
Conscience, toi aussi t’es un big boss !
- Tu parles, j’ai fait ça toute ma vie, répondit-il en
grimaçant. Tu… tu as eu peur toi ?
- ... Un peu. Et toi ?
- Oh que oui ! Alors ne me refait jamais ça !
- Mais toi, de qui as-tu eu le plus peur ? Du dragon
ou de la directrice ? S’exclama-t-elle en rigolant.
- Je crois que c’est toi la plus effrayante ! »
Répliqua-t-il.
Elisha secoua la tête, amusée,
mais ne répondit rien : elle venait d’arriver à la porte de leur chambre,
où la moitié de ses camarades de classe l’attendaient avec impatience, fort
occupées à se vernir les ongles.
« Sur ce... bon
anniversaire ! Et surtout bon courage ! » Chuchota le petit
protecteur avant de se précipiter dans la poche de sa veste. Mais il n’était
pas sûr qu’elle ait entendu, en dessous des cris suraigus des jeunes
magiciennes ! Ils étaient de retour à la case : « les filles qui
paillent sans arrêt et sans raison » !
_________________________
Ceci est donc le premier extrait que je poste ici. Vous ne pouvez pas le savoir, mais le jour de cette aventure, c'est l'anniversaire d'Elisha. Donc je comprends que ça semble tomber du ciel, mais normalement, avec le début du chapitre (que je n'ai pas encore écrit ;p), c'est plus clair !
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Ceci est donc le premier extrait que je poste ici. Vous ne pouvez pas le savoir, mais le jour de cette aventure, c'est l'anniversaire d'Elisha. Donc je comprends que ça semble tomber du ciel, mais normalement, avec le début du chapitre (que je n'ai pas encore écrit ;p), c'est plus clair !
Alors, alors. C'est vrai que c'est du vrai neuf cette fois ! Mais tu n'en avais pas déjà écrit un bout? Peut-être pas...
RépondreSupprimerVoici ma critique, qui commence premièrement par une question: Pourquoi y a-t-il des passage en gras, et d'autres en gris? Même en pleins milieu de phrase tu change !
Sinon, le texte et bon, on a une belle rebondit avec la directirice qui apparait.
Cependant, je n'ai pas compris, du fait que l'extrait soit sans contexte (même pour moi); l'anniversaire? D'Elisha?
Une critique fondamentale enfin: TU N'AS MEME PAS MIS LE TITRE DU LIVRE que tu écris, dont tu nous passe un extrait... mauvais pour le busness ça ! ^^
Bisous, bonne suite !
Bonjour Madame la Passeuse :)
SupprimerOui, j'avais déjà écrit quasiment tout le texte, c'est le premier que j'ai écrit. Mais ensuite, j'ai eu besoin de le modifier, pour l'adapter à ce que j'avais inventer. J'ai surtout prolonger sur la fin en fait, et un peu retoucher le milieu, mais voilà :)
Pour les couleurs, je n'avais pas vu et j'ai rectifier !
Le titre... le titre c'est le tire du poste !! Je croyais que c'était évident ! bon, je l'ai redis plus clairement.
Merci pour la belle rebondit ^^
Bisous <3
J'aime j'aime j'aime... Mais ça tu le sais déjà ! ♥
RépondreSupprimerL'anniversaire d'Elisha hein ? Si je me souviens bien, tu as écris ce texte pour mes 14 ans ! D'autant plus qu'on-ne-citera-pas-l'origine-du-prénom-Elisha ! x)
Ralala, et dire qu'à cause de toi, je ne peut même plus mettre Elisha comme pseudo... ^^
J'aime Conscience -comme toujours ! ♥
Et même si c'est assez glauque, j'aime le travail qu'elle fait à la hace ! xD
Ecris vite la suite, Bisous !